Dans la tiédeur du soir,
Comme une rêve viennent me bercer
nuit de velours, âmes en exil,
Chassent de mon coeur la tristesse.
Prenant mon coeur au piège,
Qui m’émeut et me captive.
Guitare d’autrefois,Guitare de ma jeunesse!
L’ ombre des souvenirs
Eperdument inquiète, comme tous les orphelins
Qui perdent un proche et voient soudain s’envoler,
La part d’amour et de tendresse qui leur revient,
Se réfugiant dans l’inconscient de leur rêve brisé.
Ces flashs de ma vie,si précieux à mon histoire,
Ces moments triste et flous, en mon coeur j’ai ancré,
Des rappels utiles, à la survie de l’image miroir,
A vie, dans ma mémoire, resteront imprégnés.
Oh père ! si peu connu, oublierais-je ton image,
Comme un souvenir lointain, que le temps n’ effacera
La mort t’a ravi, dans le sillon de ton plus bel âge,
Pourquoi es-tu parti? pourquoi n’es-tu plus là ?
Mais à tord où à raison mon esprit se déverse,
Sur les flots furieux, des rumeurs de l’inconscient,
En brisant le silence, le vent fou de la détresse,
Emporte sur son passage, mes sombres déraisons..
Dans l’ombre et le chaos, de ma triste tourmente,
L’orage impunément, en moi s’est imposé,
Des souvenirs oubliés mon âme se lamente,
De ne pouvoir en pensées, m’accrocher au passé.
Mais je sais qu’un jour je pourrais te revoir,
Dans un monde où maladie, et mort ne seront plus,
Je garde au fond de mon coeur ce bel et doux espoir,
D’un jour où nous vivrons dans l’amour absolu.
C‘ est moi la terre !
Je me sens trahie, abandonnée,
Nue, dépouillée, dévasté,
Par l’égoïsme des hommes,
Que l’appât du gain a aveuglé.
Ne voyez vous pas que, je pleure
Que je souffre, que je crie,
Sachez que si je souffre,
Vous souffrirez aussi !
Car chaque jour qui passe,
Diminuent mes ressources,
Je ne peux donc vous garantir,
Bonheur santé et longue vie !
Alors si ce n’est pour vous,
D’autres vont vous suivre,
Leurs laisseriez vous
Une planète ivre ?
Mes belles forêts agonisent,
Mes rivières sont polluées,
VOUS NE REMARQUEZ RIEN ?
Mais moi dans ma colère,
Je tremble et je frémis,
Dévastant par mon langage,
Les méchants et les gentils,
REVEILLEZ-VOUS !!
Hommes de la terre,
Hommes de tous les pays !
revenez à moi, ne soyez pas fiers,
Car trop de progrès,
n’est pas de bon aloi..!
Alors dans ma bonté,
Je pourrais vous pardonner.
Car si vous vous montrez sage,
Je vous accorderais sans ambages,
Et pour une longue durée,
Paix, bonheur, sécurité
un cri du coeur de………..Claudem
Je vous offre en partage ce poème que j’ai trouvé sur le net et que je trouve touchant de vérité
Mais si c’était possible
Et si c’était faisable
Et si Dieu me l’accordait
J’oserai lui demander,
D’être mille fois papa,
Pour vous prendre dans mes bras,
Si j’avais des millions
et des tas de maisons,
Et si mon coeur était
plus grand que de raison,
Je vous ferais voir le monde,
De New york à Ostende,
Et l’on rirait bien fort,
De Tokio à Frankfort.
Mais je n’ai pas de maison
Assez grande pour vous
Allez petit ne pleure plus,
Ouvre grands tes beaux yeux,
Regarde à l’horizon,
Ne soit plus malheureux,
Les hirondelles s’en vont,
Un jour, un jour tu les suivras,
Mais tu n’oublieras pas,
Que dans l’ orphelinat,
T’as fait tes premiers pas..!